Le secret de la longévité, c'est de continuer à respirer.
Admettre l'art de vivre des autres n'est pas donné à tous les peuples, ou en tout cas à tous les chefs que les peuples se donnent. Savoir l'admettre, le reconnaitre, décider parfois de s'en inspirer, c'est déjà tout un art de vivre.
Evidemment, nous devons prendre le monde tel qu'il est, car s'il n'est pas en notre pouvoir de le changer à notre gré, nous pouvons y vivre en le regardant sous un angle différent, en changeant d'attitude envers lui.
Si l'on devait vivre éternellement, tout deviendrait monotone. C'est l'idée de la mort qui nous talonne. C'est la hantise et le désir de l'homme de laisser une trace indélébile de son éphémère passage sur cette terre qui donnent naissance à l'art.
Le mépris est une pilule qu'on peut avaler mais qu'on ne peut mâcher.
Les livres naissent de l'ignorance, et s'ils continuent à vivre après avoir été écrits, ce n'est que dans la mesure où on ne peut les comprendre.
Quand l'homme ne travaille pas pour vivre et passer, il travaille pour survivre.
Je voudrais vivre pour étudier, non pas étudier pour vivre.
Je ne connais pas vraiment Hollywood, mais vivre à L.A. était très motivant et inspirant. Les lumières, les figurants, leurs visages américains, l'énergie, le Théâtre Orpheum. C'était très inspirant.
J'aime la vie! Je sens que vivre est une chose merveilleuse.