Un mariage c'est comme un enterrement, sauf qu'il faut sentir les fleurs qu'on vous apporte.
La vengeance du mari cocu, faire manger à l'épouse infidèle le coeur de son amant.
Quand vous entendrez : " Ciel, mon mari ", dites-vous bien que c'est l'enfer.
Un ami pour le chic, Un amant pour le choc, Un mari pour le chèque.
L'état de mari a cela de fâcheux que le mari qui a le plus d'esprit peut être de trop partout, même chez lui, ennuyeux sans ouvrir la bouche, et ridicule en disant la chose la plus simple.
On marie les femmes avant qu'elles soient rien et qu'elles puissent rien être. Un mari n'est qu'une espèce de manoeuvre qui tracasse le corps de sa femme, ébauche son esprit et dégrossit son âme.
La littérature est une blessure par où jaillit l'indispensable divorce entre les mots et les choses. Par cette plaie, nous pouvons perdre tout notre sang.
Jamais d'incompatibilité d'humeur dans un ménage où la femme rit toujours quand son mari ressort une vieille plaisanterie et où le mari s'abstient de rire quand sa femme arbore une nouvelle toilette.
L'amour se divorce à l'amiable.
Certaines fiançailles se terminent bien, mais dans la plupart des cas, les deux parties se marient.