La valeur d'un homme ne se mesure pas à son argent, son statut ou ses possessions. La valeur d'un homme réside dans sa personnalité, sa sagesse, sa créativité, son courage, son indépendance et sa maturité.
L'histoire se répète. Comme autrefois, comme toujours, on ne peut vaincre que par la force des armes, le massacre et la trahison.
Patience et longueur de temps font plus que force ni que rage.
La police et les Jésuites ont la vertu de ne jamais abandonner ni leurs ennemis ni leurs amis.
Vous savez que la mémoire d'un poisson est d'une seconde seulement ? A force de regarder ces poissons rouges dans leur bocal, le téléspectateur devant son écran n'a plus qu'une seconde de mémoire lui aussi.
Tout poète lyrique en vertu de sa nature opère fatalement un retour vers l'Eden perdu.
C'est un des traits fondamentaux des sociétés occidentales que les rapports de force qui pendant longtemps avaient trouvé dans la guerre, dans toutes les formes de guerre, leur expression principale, se sont petit à petit investis dans l'ordre du pouvoir politique.
Si l'homme n'avait pas de force de caractère, serait-il différent des poules qui, du matin au soir, picorent tête baissée ?
On ne se méfie jamais assez des ambitieux qui gravitent autour d'un chef. Bien souvent, ce sont eux qui infléchissent ses actions et qui, à force de le protéger, finissent par l'isoler dangereusement.
La certitude du péché inclus dans un acte est souvent l'unique force invincible qui nous pousse à son accomplissement.