Un acteur sur la scène, c'est une buche dans le feu. Quand la flamme du dialogue le quitte, il doit lui rester la braise de la situation. Mauvais bois qui s'éteint dès qu'il ne flambe plus. Faut-il donc que le poëte souffle toujours dessus ?
Tant va la bûche au feu qu'à la fin elle s'enflamme.
J'ai toujours dit, j'aime mon café comme j'aime mes hommes... Je ne bois pas de café !
Il a fait descendre une eau du ciel à laquelle des vallées servent de lit, selon leur grandeur. Le flot débordé a charrié une écume flottante; et semblable à celle-ci est [l']écume provenant de ce qu'on porte à fusion, dans [...] ► Lire la suite
Il semble absurde au possible, je le reconnais, de supposer que la sélection naturelle ait pu former l'oeil avec toutes les inimitables dispositions qui permettent d'ajuster le foyer à diverses distances, d'admettre une quantité variable de lumière et de corriger les aberrations sphériques et chromatiques.
Le mot pain est comme un coup de feu quand une bouche affamée le prononce.
- Tu vas pas bosser ? - Non, Lino Ventura est mort, c'est pas un jour ordinaire...- Qu'est-ce que tu bois ? - Comme d'habitude.
L'amour, c'est comme l'électricité. On allume le poêle sans penser au prix.
Un feu lointain ne réchauffe point.
Le foyer c'est le royaume des illusions, la source des rêves de bonheur.