Comme tu as grandi. C'est dommage, c'est affreux d'être adulte, crois-moi. Mais le carrousel ne s'arrête jamais de tourner, quoi qu'il arrive.
Je sais que pour toi Alzheimer c'était pire que mourir. Je sais que c'est une délivrance pour toi, mais c'est loin d'en être une pour moi. J'éprouve pas de soulagement. Ça me manque de ne plus entendre ta voix, Ça me manque de ne plus te parler. Tu me manques.
J'ai fait en sorte que tu deviennes quelqu'un d'extraordinaire, imagine ma déception quand je me réveille après cinq ans et que je découvre que tu es quelqu'un d'ordinaire.
- Comment vous vous appelez ? - C'est moi maman Meredith.