Citations d'Animateur de radio

Allez les petits !

Pour se sentir respectable, il faut respecter les autres.

C'est quand l'adolescence s'achève que l'on comprend ce qu'elle aurait pu être. En général, il n'y a pas de date précise, ça vient peu à peu, le sens du passé perdu et de tout ce qu'il reste à entre prendre. [...] ► Lire la suite

Même si on le croit égaré, le rêveur vit dix vies en une et il est dix fois plus seul qu'un terrien dans son passage sur cette terre.

La solution recherchée, on la découvre souvent tout près de soi, alors pourquoi chercher l'incertain, l'impossible. Les abus conduisent-ils toujours à l'abîme ?

Je veux travailler jusqu'au bout, la retraite ce n'est pas pour moi, je ne sais pas ce que c'est.

J'étais un bon journaliste, et accesoirement j'ai fait la preuve qu'on pouvait être un animateur convenable. Mélanger les deux l'humour à partir de la vraie info.

J'ai toujours adoré travailler et c'est compliqué de raccrocher.

Cannes est un lieu de plaisir et de désir.

Le visage qui s'illumine, l'attention de gens qui vous écoutent... C'est un plaisir ultime.

Quand j'avais 50 ans, un patron de chaîne m'a dit : Bellemare, vous êtes usé, c'est terminé !

J'ai peur d'être oublié.

Je ne comprends pas comment on ne peut pas savoir arrêter une chaîne, ou en tout cas la réformer en temps utile.

Canal+ a donné le temps à "Nulle part ailleurs" d'exister.

J'ai une âme de collectionneur. Ça a été ma passion toute ma vie, et ça le reste.

Il faut savoir, qu'avant de faire Nulle Part Ailuuers, Antoine de Caunes était non seulement spécialiste de la musique, mais il a écrit des romans policiers en anglais édités à New York.

Aujourd'hui, j'accepte de travailler gratuitement.

Le public est toujours très sympa avec moi

J'ai quitté Paris à cause de ma femme !

Avec l'âge on a moins de mémoire, alors que moi j'avais une mémoire fantastiqe, j'étais curieux de tout et tout m'interressait.

Notre credo, c'était mélanger le sérieux et la distraction.

Je ne juge pas Antoine de Caunes, je sais qu'il sait faire des choses que je ne sais pas faire. Il a un talent fou.

Je ne suis pas dans le besoin donc je peux travailler gratuitement ou pour pas cher.

Je croise peu de monde là où je suis car je vis au milieu de la campagne !

Nulle Part Ailleurs était un laboratoire mais dans lequel il y avait des vedettes extraordinaires.

Je ne regarde plus Canal+.

Le jour où Antoine s'en va, je sais qu'il y a tout le reste de l'équipe derriére. Donc je ne peux pas partir.

Je suis d'abord un bon ouvrier, un contremaître si vous voulez mais pas un monstre (de la télè).

La Redoutable peut venir me cueillir.

Le pétoman était l'obsession d'Antoine de Caunes.

Le Grand Journal conçu par Michel Denisot intégrait ce que je n'avais pas mis dans Nulle part ailleurs, comme par exemple la politique.

Antoine a perdu sa liberté.

Avec Nulle Part Ailleurs, j'éatais le conducteur du train, on m'a demandé de mettre des rails et le probléme c'était d'aller de plus en plus loin avec ces rails.

Je ne suis plus dans le coup.

Sur canal on était tous complétement allumés.

De Caunes-Garcia, c'était le top du top.

Les Nuls c'est moi qui les avait découvert.