Citations de Sélectionneur de football

Arriver dans la surface et ne pas pouvoir tirer au but, c'est comme danser avec sa soeur.

Lorsque les gens réussissent, c'est grâce à un travail acharné. La chance n'a rien à voir avec le succès.

Ma mère pense que je suis le meilleur, et j'ai été élevé en croyant toujours en ce que ma mère me disait.

J'ai un avantage sur les politiques : eux, ils sont publiques et moi, je suis populaire.

Il me faut deux secondes pour faire ma valise. Je peux me battre pour ma vie, pas pour un emploi.

Au début, la drogue te rend euphorique. C'est comme gagner un championnat. Tu te dis : demain, je m'en fous vu qu'aujourd'hui, j'ai remporté le championnat.

Je suis noir ou blanc, je ne serai jamais gris de ma vie.

Lorsque vous gagnez, vous ne vous laissez pas emporter. Mais si vous allez pas à pas, en toute confiance, vous pouvez aller loin.

Mon rêve, c'est de jouer un Mondial et de le gagner.

J'ai vu le joueur qui héritera de ma place dans le football argentin et il s'appelle Messi... C'est un leader et offre des cours de beau football.

J'étais, je suis et je serai toujours un toxicomane. Une personne touchée par la drogue doit la combattre tous les jours.

Si je pouvais, je demanderais au père Noel d'avoir toujours vingt-cinq ans, comme ça je pourrais toujours jouer au football.

L'argent n'est pas un facteur de motivation.

Je demande mille fois pardon aux Anglais, mais la vérité, c'est que je le referais mille fois.

Lorsque je porte le maillot de l'équipe nationale, son seul contact avec ma peau le met en place.

Je suis Maradona, qui fait des buts, qui fait des erreurs. Je peux tout prendre, j'ai des épaules assez grandes pour me battre avec tout le monde.

Dites-moi pourquoi je ne vais pas pouvoir vivre sans une partie de mon coeur, alors que d'autres arrivent à vivre sans âme ?

Voir le ballon, courir après, fait de moi l'homme le plus heureux du monde.

Je suis né dans un quartier privé de Buenos Aires...Privé d'eau, d'électricité et de téléphone !

Il n'y aurait pas de débat sur qui était le meilleur footballeur que le monde ait jamais vu - moi ou Pelé. Tout le monde me dirait.

J'ai grandi dans une résidence privée... Privée d'eau, d'électricité et de téléphone.

Jusqu'à aujourd'hui, j'ai vécu 40 ans qui en valent au moins 70. Ma vie a été bien remplie : je suis sorti de Fiorito pour atteindre le toit du monde, là haut, tout en haut de la célébrité. Mais une fois arrivé là, j'ai dû me démerder tout seul.

Beaucoup disent de moi, "tu es dieu", et moi, je leur réponds "vous dites n'importe quoi". Dieu est Dieu et moi, je suis un simple footballeur.

Le combat est mon carburant.

Sans Claudia, aujourd'hui je serais dans le pétrin. La drogue vous tue, elle vous annihile.

Je donnerais ma vie pour être entraîneur de l'équipe nationale.

Toutes les personnes qui m'ont critiqué devraient manger leurs paroles.

J'ai donné tout ce que j'avais. Maintenant, je veux profiter de ma famille.

Jouer à huis clos, c'est comme jouer dans un cimetière.

Je déteste tout ce qui vient des États-Unis. Je déteste ça de toutes mes forces.

Le Manchester Derby est plus grand et plus important que El Classico.

On m'en a donné des surnoms, mais Pelusa est celui que je préfère parce qu'il me transporte dans mon enfance à Fiorito.

Messi, je pense, est comme moi, il est le meilleur du monde avec Ronaldinho.

Mes enfants légitimes sont Dalma et Giannina. Le reste est le produit de mon argent et de mes erreurs.

Les choses ne sont ni claires ni nettes dans le monde du football en ce moment et beaucoup de gens reconnaissent cette réalité.

Ce que j'aime le plus en Norvège, c'est vous mesdames. De retour à la maison, je suis habituée aux femmes journalistes grasses et poilues.

Je suis vivant et je veux continuer à vivre.

Le Seigneur aide ceux qui s'aident eux-mêmes.

Tout le monde en Argentine se souvient de la main de Dieu lors du match d'Angleterre lors de la Coupe du monde 1986. Maintenant, dans mon pays, la main de Dieu nous a amené un pape argentin.

Si je pouvais m'excuser et revenir en arrière et changer l'histoire, je le ferais. Mais le but reste un objectif, l'Argentine est devenue championne du monde et j'étais le meilleur joueur du monde.

Pelé devrait retourner au musée.